le visage

Grain de beauté, sur peau diaphane.

Les dernières nostalgies, envolées,

Par ce matin clair,

Aux paupières lourdes,

Par ce matin lourd d'une légère brise.

Peau de chagrin, sur grain de folie

la pluie de mes entrailles

Se jette sur le canapé sombre

De cette nuit, presque estivale

Cette nuit qui me poursuit

Je baille aux profondes réflexions

Qui se réflètent dans mes yeux glauques , et paresseux.

Drôle de matin aux prières sourdes,

Aux aventures fertiles,

d'un corps en exil.

Drôle de jeu qui mue,

telle une peau de serpent sur l'oreiller.

Mes idées fougueuses,

me font la gueule.