femmes
Rêves inconsciences, inconsidérées,
De la parme couleuvre,
Qui se pâme autour du feu
Sacré de l'encensoir,
Rêves,vertigineux, les planètes se réveillent,
Qui frôlent la douce femme,
Qui dansent sur les flammes du désert,
Sacré par "the doors",
Ou se dandinent les portes de la conscience,
Réveil de la liberté croisée des devoirs,
Sur un tapis multicolore
Femmes qui portent leur musique
Musique de l'âme douce ou foudroyante
Comme cet orage, oui cet orage,
Qui a fait trembler
les murs du son
De l'indicible, et figures d'amour,
Ce jeu des frontières d'effrontés
Qui perles les mémoires d'eaux troubles et vertes
Qui alimente nos espoirs éperdus;
Oh soleil, lune terre
Nature folle des cheveux d'ange
Nature de l'incompréhensible,
Du mystère voilé de notre perfidie.
Tendre nuit, aux volutes sous la pergola,
tendres rèves qui infiltrent une lumière paprika
Tendres pensées aux fenètres de la vie
Tendre vie qui s'endort dans mon corps.